Avec 54 % des colocataires étant des actifs, pas de doute, la colocation n’est plus réservée aux seuls étudiants ! Si vous hésitez encore à sauter le pas, ce qui suit devrait vous motiver !

Louez plus grand, sans payer plus cher !

Il n’est désormais pas rare qu’une colocation soit composée de personnes qui disposent d’un emploi stable et auraient chacune de quoi se payer un studio. Car si l’union fait la force, elle permet aussi de gagner des mètres carrés supplémentaires. En clair, pour avoir plus d’espace, la colocation est une solution très avantageuse. En s’y mettant à trois et en payant autour de 750 € par mois de loyer, des colocataires pourront tout à fait trouver à se loger dans un appartement familial en plein Paris. Alors que séparément, ils auraient dû se contenter d’un 15 m2 !

Partagez les frais du quotidien

En plus du loyer, ce sont toutes les dépenses liées à la location qui seront réparties entre les colocataires : frais d’agence, dépôt de garantie, charges locatives, factures de gaz, d’électricité et d’eau, frais d’abonnement Internet mais aussi dépenses exceptionnelles (réparations et dépannages divers à la charge des locataires).

Faites-vous des ami(e)s

Outre les inévitables tâches ménagères, vivre en colocation fournira bon nombre d’occasions d’échanger entre colocataires. Mais si la vie à plusieurs n’est pas toujours simple, une location « classique » paraîtra bien tristounette en comparaison des expériences que permet de vivre une colocation… Évitez tout de même de rejoindre une coloc’ d’étudiants un peu « fêtards » sur les bords si vous devez vous lever à 6 heures tous les matins pour aller travailler !

Une formule prisée des propriétaires !

S’ils l’ont longtemps boudée (par crainte de dégradations ou d’impayés), les propriétaires se sont réconciliés avec la colocation. Et pour cause, elle leur assure une meilleure rentabilité tout en leur permettant de louer plus cher. Bref, l’époque à laquelle il était plus facile de trouver une colocation qu’un candidat de téléréalité capable d’aligner deux mots sans faire une faute est bel et bien révolue.